Colombe Clier, Natures Mortes au Festival de photographie de Levallois / by herwannperrin

Artiste complète entre Littérature et photographie, les unes appuyant avec force semble t-il même si je n'ai pas pu lire entièrement la nouvelle "L'eau douce" dont il ne me restera que quelques phrases volées en attendant qu'elle soit publié chez un éditeur.

Extrait :

"Chaque jour, loin de toi je t'écrivais,
Oh mon amour, oh mon amour
J'ai survécu, mais Mon Dieu pourquoi,
Pour passer ma vie sans toi
Oh Malthildaaaaa, aaaaah mon amour
Toutes les batailles pour toi je les ai gagnées,
Mais pas cette fois, oh Mathilda..."

Avec les photographies de "Natures au repos", c'est une partie du monde de Colombe Clier qui nous est permis d'entre apercevoir avec ces petits photos au format et à l'encadrement original. On est dans la contemplation de ces moment de silence absolu ou l'être ou les choses avancent à pas de loup et où presque rien n'existe que le souffle. La brume d'un matin hivernal, le revêtement d'un fauteuil qui a vu un passé se terminer, un fauteuil de cuir rouge à l'épaisseur étrange, et puis des cieux de nuages ou l'absence est en éveil, où plane la solitude de moments uniques.

L'ensemble des photographies de l'exposition Natures mortes

L'exposition se déroule à l'Escale jusqu'au 17 février prochain
25 rue de la gare - Levallois