Van Gogh à Londres de Nicholas Wright au théâtre de l'Atelier / by herwannperrin



Avant tout, je vous déconseille d'y aller!!!

Vous me direz, heureusement, ce n'est plus là que jusqu'au 17 novembre et tant mieux. Désolé mais c'est plus fort que moi. Même si vous êtes situés dans l'orchestre entre les rangs 7 et 10, le reste étant d'ailleurs complètement vide, une première pour ce sublime théâtre dont j'adore normalement la programmation, n'y allez pas. Je dirai même plus, même si c'est gratuit, je suis certain que vous trouverez mieux à faire ailleurs, c'est certain!!, suivez mon conseil...

C'est insupportable, voire crispant à souhait...

Le résumé : "Une histoire du désir d?aimer, du désir d'aller voir plus loin, plus loin entre les bras d'une femme, plus loin dans l'expérience de la découverte de soi et du monde".

Eh bien avec cela j'aurai du déjà m'en douter mais mon premier soupçon est venu en entendant Vincent Van Gogh qui est énervant tout simplement, il gesticule dans tous les sens sans rien donner de lui et c'est inintéressant au possible... suivi par sa soeur dont l'accent et les mimiques sont insupportables, la fille est un peu niaiseuse et le peintre raté peu visible... il reste peu être un peu pour le jeu de la mère. Mais, vous l'aurez compris ce n'est pas suffisant, de très loin , c'est même très mauvais avec, pour couronner le tout au milieu une valse d'un ridicule somptueux et un air de trompette qui sonne la mort ou la fin de tout...

Avec STOLÉRU Josiane, ROLDAN Laure, MARQUET Guillaume, PERSONNAZ Raphaël, PUDLO Amandine et pour finir, le metteur en scène, ne l'oublions pas!!! ce serait dommage :  VINCENT HELENE

En tout cas à éviter à tout prix.

Théâtre de l'atelier