Carlos Freire à la Maison Européenne de la Photographie / by herwannperrin

 
Avec ses « Carnets de routes photographiques (1978-2005) Carlos  Freire nous invite à le suivre sur les chemins de ces amours, l’Inde en particulier avec quelques sublimes photos d’un noir et blanc suave et avec une galerie de portraits célèbres dont une de mes favorites est celle de bacon dans son atelier, espace de création par excellence mais égalment celle de Samuel Becket, de côté et toutes ces personnes qui ont marqué notre temps à jamais à savoir Jorge Luis Borges, Jorge Semprun, Michel Foucualt, Marguerite Duras, Yourcenar, Ocatvio Paz, Cioran, Roland Barthes, celle d’Orson Welles aussi et de son petit clin d’œil à un acteur brésilien et bien d’autres encore. On rentre directement dans l’intimité car Carlos Freire nous donne une petite explication contextuelle qui eprmet de suivre et de comprendre la situation avec ces anecdotes.
 
Très bel expo etretrouvailles avec les portraits du passé…
Une très analyse : « Carlos Freire, l'ami du monde réel, a ainsi triomphé, sans le dire, sans même le vouloir, de l'odieux nihilisme qui a envahi la terre entière et jusqu'à l'intérieur de nous-mêmes. Il faut lui en être plus que reconnaissant : il nous réconcilie avec cette énigmatique énergie qui hante, partout, tous les corps vivants, alors qu'ils sont, tous, condamnés à plonger un jour ou l'autre dans le néant ».
Alain Jouffroy,
(Extraits de "Carlos Freire, l'ami du monde réel")
 
Pour plus d’impressions, cliquez ici ou
 
Si jamais, son bouquin sur le Mont Athos a l’air superbe