Le monde de Narnia / by herwannperrin

J’apprends par la bande et plus particulièrement par le Monde que Narnia, alias The Chronicles of Narnia: The Lion, The Witch, and The Wardrobe serait teinté d’un humanisme tout chrétien qui semblerait convier à lui toutes les foules en ces temps de fêtes et de réjouissances alors que que le producteur indique « ce film n’est pas chrétien », volià un bel effet d’annonce qui ne manquera pas d’attirer les sceptiques et cette organisation de l’information diablement orchestrée devient ou est toujours plus fine avec le temps mais pour qui, on se le demande…. Enfin, si on revient, commence par parler du film, il ne faut pas être « dieu le père » pour y voir plus que des effets d’annonces quand il est question des fils et filels d’adam, de la resurrection et du diable personifiée… en la charmante dame des glaces qui vous renplit le sang d’un effroyable saisissement où seule l’haleine fétide du fauve pourra vous sauver. J’apprends également que CS Lewis était un mai de JR Tolkien, on l’aura également remarqué dans certains scènes réminiscentes de bataille récemment remise à jour par ce cher Peter jackson ; il n’aimait pas spécialement Narnia par contre. Enfin, on retrouve els bons ingrédients du conte de noel en quelque sorte qui comme dans mon jeune temps avec les goonies ou l’histoire sans fin étaient au rendez-vous pour que les petits et puis le sgrands puissent profiter, sans se soucier d’effluves religieuse ou autre de plaisirs du cinéma car c’est et cela reste toujours un grand moment pour tous…Donc à voir avec empathie.
 
De plus, pour la petite historie, c’est encore le Monde et Laurent Greilsamer qui le dis dan l’édition du 26 décembre n’en déplaise à certain mais le lien est brisé, donc vous n’aurez que queqlues extraits : « C'est nouveau. Sans vouloir faire un cours d'histoire malvenu, Noël n'a pas toujours été Noël. Durant les trois premiers siècles après Jésus-Christ, Noël n'était pas fêté, puisque Noël n'existait pas. On fêtait alors le solstice d'hiver, on espérait la fin de l'hiver tout en sachant bien que l'hiver, le vrai, n'était pas fini. On espérait des nuits plus courtes et des journées plus longues. On attendait impatiemment que reviennent la lumière et les bourgeons. Dans cette aube encore indécise du christianisme, on négligeait l'aspect religieux, sacré de Noël, tout simplement parce qu'on savait que Jésus était né au printemps (probablement le 28 mars), et que l'on ne confondait pas le printemps avec l'hiver... »
 
Donc, pour revenir à narnia, allez y avec vos enfants, c’est plaisant…Sans nul doute, c’est la plus petite, Lucy alias Georgie Henley qui se trouve vraiment être à la hauteur…