Allez savoir pourquoi, j’avais quelques réticence sur ces albums qui me seblaient plustôt un peu trop intello et d’effet de mode et bienheureusement, après l’avoir emprunté et délecté pages après pages, je peux vous rassurer, c’est du grand art, un scénario digne des grands de ce nom, ue poésie et la tristesse d’une histoire dans ce cas qui pose des questions cruciales sur les choix faits, l’amour, les relations inte-individuelles, le couple, la religion et l’oubli.
Tout commence après cette phrase anodine et si révélatrice par la suite : « Vous ne vous souvenez pas de moi ? « « A vrai dire pas du tout », déclencheur irrémédiable d’une fin programmée…
Associé à un graphisme fait de noir et de blanc allant jusqu’à parfois remplit complètement l’espace avec des personnages attachant et des visages anciens, aux traits à la manière simple mais précis.
A découvrir ou apprécier encore et encore, je vais lire les autres albums de la série …