BLOG CULTUREL
L'open space m'a tuer d'Alexandre des Isnards et Thomas Zuber
La photographie à l'honneur avec L'affiche moderne
Voilà un nouveau site qui peut vous intéresser, non ce n'est pas le lavoir moderne mais L'affiche moderne... où tout simplement la possibilité de s'offrir de jolis photographies en tirage limités...
Les deux premières photographies sont de Franck Juery... dont j'avais déjà parlé ici..., les deux après sont de Cyril Auvity et puis il y en a d'autres, peut être vous, peut être moi, allez savoir en tout cas, voilà un moyen de s'approprier un peu plus quelques belles photographies...
D'autres photographes et artistes à l'honneur....
L'affiche moderne
Une bouteille dans la mer de Gaza de de Valérie Zenatti
Mais Tal a envie de croire, d'espérer, un peu naïvement certes mais c'est aussi beau de croire dans la liberté et la fraternité, on ne peut pas lui reprocher,. les rêves sont fait pour être vécus, ils doivent aussi, dans la mesure du possible se réaliser, c'est souvent en travaillant d'ailleurs qu'ils deviennent cette réalité presque impalpable au départ. une bouteille à la mer où comment essayer de lier le dialogue avec l'autre avec le frère ennemi qui est là, de l'autre côté du Mur. la guerre est là présente à chaque minute, la vie devient un hasard et profitez des instants présents une bénédiction...
Rencontre avec le conflit israélo-palestinien, cette sale guerre qui dure depuis 60 ans maintenant... l'horreur quotidienne, chacun avec ses moyens, l'armée d'un côté, les martyrs de l'autre. Alors qu'il n'y a qu'une solution, la Paix. Les espoirs remontent àRabin en 1994 mais ensuite l'impensable a surgit et depuis des promesses, des promesses et toujours les attentes, la répression, la guerre quoi. Est-ce qu'un jour cela finira ? L'histoire est longue mais on espère tous les jours voir des miracles, il faut y travailler....
Un livre pour essayer d'un peu comprendre ce quotidien des jeunes... difficile d'être vivant dans ce monde. Une belle fin, une belle écriture et une fin juste, qui touche.
Et, la photo de couverture est de Franck Juery... dont j'avais déjà parlé ici...
La traversée du temps de Mamoru Hosoda
Eh bien franchement, un peu décevant je dois dire ce manga, rien d'onirique à cette quête là du temps... Pourtant, quelques nominations de référence.... dont une Mention spéciale du jury au Festival Annecy 2007 et film d'animation de l'année, Meilleur réalisateur, Meilleure histoire originale, Meilleur scénario, Meilleure direction artistique et Meilleur design au Tokyo Anime Fair 2007,....
Evidemment, cela se laisse voir mais bon cela n'est pas fameux... mais le fameux, est rare aussi, qu'on se le dise...
"Makoto est une jeune lycéenne comme les autres, un peu garçon manqué, pas trop intéressée par l'école et absolument pas concernée par le temps qui passe ! Jusqu'au jour où elle reçoit un don particulier : celui de pouvoir traverser le temps. Améliorer ses notes, aider des idylles naissantes, manger à répétition ses plats préférés, tout devient alors possible pour Makoto. Mais influer sur le cours des choses est un don parfois bien dangereux, surtout lorsqu'il faut apprendre à vivre sans !"
Le chaos ne eut pas exister dans le monde, il n'y a pas de don sans responsabilité, d'actions sans causes ni
conséquences dommageables pour autrui... les temps obéit, semblerait-il, lui aussi a une logique inné, les évènenements s'ils sont détournés doivent néanmoins se produire, ils son immuables... cela me semble un peu figé comme théorie, cela impliquerait que les lignes sont écrites de toutes éternité...bien triste tout cela....
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Saul Leiter à la Galerie Camera Obscura
Je vous conseille très vivement d'aller voir cette exposition qui est encore en place jusqu'au 18 octobre. Elle est tout simplement sublime.
Saul Leiter est un de ces photographes coloriste comme jamais, la plupart des photos date de la fin des années 50. Elles sont comme des moments de bonheurs volés, cachés pris au hasard des pas, des errances. La neige est là qui rythme de manière subtile et tout en douceur ces instants.
Les mots souvent manquent devant tant de simplicité et de vie à la fois. Des années 50 qui reviennent jusqu'à nous dans des écrins somptueux. Le réel pris en défaut, c'est un peu cela qu'il nous donne à voir, cette beauté toute simple qui coule autour de nous sans failles. C'est par de petites touches finement ciselés dans la cité qu'il puise son inspiration et la couleur s'accorde à son parcours...
La belle endormie est là perdue dans ses rêves
L'ombre et la lumière qui se séparent
La canopée est là qui rend cet ensemble idéal
Et puis tant d'autres beautés en suspension, tant de sensibilité dans ces oeuvres.
D'ailleurs lisez la très belle critique de Tania Koller sur Fill in et regarder sur le site de la Galerie Camera Obscura une bonne dizaine de photos de l'exposition si vous n'avez pas le temps d'y passer.
Galerie Camera Obscura
268 boulevard Raspail - 75006 Paris
Tel : 01 45 45 67 08
