
Convalescense
Tout commence par une baignade dans la pinède. Puis s’ensuit une virée au village. Lequel, le seul du haut-var qui a un chemin de croix. Des retrouvailles et un repas aux saveurs singulières ; la sauge qui embaume. Quelques douleurs qui semblent venir d’un abus de nourriture. Finalement, sur le chemin du retour, dans la nuit, le champ de vision se rétrécit et même si le souvenir des sangliers et des renards perdure, les malaises se succèdent. Vagal seulement, mais on ne le saura qu’ensuite, bref on a eu chaud ! La nuit, la sensation d’urgence, d’incompréhension, les urgences à une vingtaine de minutes. Voilà, on y est ! C’est bon … Enfin, après 12h, on a compris, ce n’est qu’une péricardite, ouf… La convalescence débute alors que l’on venait juste d’arriver dans ce havre de paix.
Dracénie, Première nuit en chambre individuelle
Dracénie, le fameux potage du soir
Dracénie, l'attrait de la douche
Dracénie, Deuxième nuit en chambre individuelle
Dracénie, tout un espace !
Dracénie, le centre du monde
Dracénie, la pause pour les soignants - I
Dracénie, la pause fraîcheur estivale - I
Dracénie, Petit déjeuner - I
Dracénie, un suivi intrusif
Dracénie, Goutte à goutte
Dracénie, propreté et vétustée
Dracénie, la pause fraîcheur estivale - II
Dracénie, le célèbre haché de viande
Dracénie, Petit déjeuner - II
Dracénie, les délicieuses paupiettes
Dracénie, la pause pour les soignants - II
Dracénie, la pause pour les soignants - III
Dracénie, un moment de réflexion
Dracénie, les inimitables épinards aux oeufs durs et à la béchamel
Dracénie, la nuit estivale se lève
Nouveau départ