Une découverte inspirée de la Playlist Society que ce dernier album christique de The mountains goats
La bible est là qui illumine chaque titre : genesis, 1 samuel 15:23, Psalms 40:2, Hebrews 11:40.... cela fait une éternité que je ne m'étais pas plongé dansle livre premier, cela a été l'occasion d'y revenir pour un moment...
Je ne dirai pas qu'il est exceptionnel mais c'est un moment de paisible quiétude qui vous attend et qui va vous bercer tout au long des morceaux qui défilent, sans vous laisser pour autant vous détacher, vous avancez dans le chemin tracé et vos pas suivent un chemin de rédemption qui vous emmène sur des terrains où vous n'avez plus/pas l'occasion de vous rendre...
Il suffit de lire quelques unes des références des différents titres pour s'en apercevoir....
De la pop à la limite du folk
Un de ces albums qui vous permet de commencer la journée ou de la terminer une journée en douceur. Vous allez trouver votre bonheur avec l'album très en douceurThe life of the world to come de The mountains goats
Benjamin indique quand même "The Life of the World to Come » est un manuel de survie au quotidien, une lumière dans la nuit capable de donner la foi aux mécréants comme moi. Et en ces temps incertains, je ne pense pas qu'il soit raisonnable de cracher sur un tel guide. Pour un groupe commeThe Mountain Goats, je veux bien croire à nouveau ". Pour ma part, je resterai quand même un mécréant par delà les ombres qui se déploient et malgré ce guide mais il n'en demeure pas moins qu'il y a matière à découvrir quelques jolis morceaux alors essayez un peu et dites moi ce que vous en pensez...
C'est bien évidemment sur My space et sur spotify pour notre ravissement le plus extrême
Un peu de folk en ce samedi grisonnant où le soleil n'arrive malheureusement pas à percer, écouter un petit peu la belle voie d'Erica Buettner qui vous mènera vers son monde doucement, tranquillement en attendant que le ciel se découvre et que les espaces s'effacent à perte de vue.
Rendez-vous donc avec cette chanteuse américaine en exil à Paris et qui vous fera découvrir le jardin des tuileries ou encore le jardin du palais royal sous un autre angle avec cette voix qui vous suivra et cette musique qui vous accompagnera encore quelques heures..
Vous allez voir, vous allez apprécier
Retrouvez Erica Buettner sur son espace My space pour vous faire une idée plus précise, il y a quelques titres...
Songs against the glaciation est un album à écouter de toute urgence, vous serez conquis dès la première écoute de la bonne pop
Il est de ces albums qui à la manière d'un bon repas, d'une bonne recette arrive à combiner, à associer tous les ingrédients permettant de réussir une soirée, un dîner. Un album qui vous permet de passer sur différentes gammes tout en laissant ressortir sur les différents morceaux cette originalité, subtilité propre qui donne envie; une sorte de parcours de sons qui s'enchaînent et s'entrecroisent.
Des chansons qui vous accompagne comme Dear tempest par exemple, un assez beau moment à partager. Avec Against the glaciation, vous vous sentez déplacer dans un autre monde entre la Hollande du XVIIème siècle, les roses, les canaux, un moulin qui tourne un peu plus loin et vous qui planez presque en suspension et regarder d'un oeil intrigué ce monde qui s'offre à vous et vous enchaînez par Heading home to the Pole, un voyage qui vous ouvre ici les portes d"une église d'un autre genre, au rythme bien soutenu vous vous réveillé dans un "strange mood", a taste of cinamon in your mouth". Et puis laissez vous porter par You're using all your senses, just for being sad,
Je vous laisse découvrir les autres morceaux pour votre plus grand plaisir comme it's just friendly fire, Listen those lost at sea sing... un monde d'eau qui se transforme assez rapidement pour une petite brise fraîche et décapante...
Un album assez court mais de très bonne facture; une très belle réussite que je vous invite très vivement à découvrir, vous ne pourrez qu'être agréablement surpris
Assez sympa cet album découvert par Mlle Eddie : "Kids wanna fuck, out in the street / Fun all summer long? (?Bang!?), les fidèles des Raveonettes seront peut-être un peu surpris d'entendre un truc aussi joyeux sortir de la bouche de Sune, la moitié masculine du duo danois dont le quatrième album sort mardi prochain. Toutefois, pas d'immenses surprises à attendre de ce disque, le son du groupe est toujours là, quasiment inchangé. 4 ans après l'excellent Lust, Lust, Lust, In and Out of Control confirme, s'il le fallait, les Raveonettes comme l'un des meilleurs groupe pop-rock actuel".
Voilà, en tout cas un très bon moment d'écoute avec ce 4ème album pop machin bidule truc qui s'écoute avec ravissement, les influences sont pléthores et vous allez rapidement le découvrir à vos dépend sûrement. Le noir vous va si bien.
Un album étonnant a plus d'un égard que je vous invite à consulter, écouter rapidement.
En effet, derrière ce nom de groupe qui pourrait faire pense à un film de catégorie Z, un vieux film d'horreur avec des os et des morts vivants qui se baladent partout sur un son métallique se cache en fait tout autre chose. De la pop d'un autre siècle, d'un autre genre qui va vous permettre de rentrer de plein pied dans un monde qui s'ignorait jusqu'alors.Méfiez-vous cet album est à la croisée d'une belle journée d'Halloween avec un soupçon de Tim Burton et d'Edward aux mains d'argent.
Regardez attentivement cette image de chorale qui vous invite dans un monde de transformation, les espaces occultes vous ouvrent un peu leur porte tandis que vous allez vous laissez happer, envoûter peut être par cet univers baroque, qui sais?
Il est de ces album qui vous interpellent, vous apprivoise presque de manière instantanée, presque comme un vin dont l'appel raisonnerait quelque part, un je ne sais quoi de revenez-y,revenez-moi et appréciez-moi a ma juste valeur. Des morceaux qui viennent d'un monde passé, oublié et qui ressurgit dans ces accords, ces notes misent bout à bout.
Le vent souffle sur Dead man's bones, les coeurs battent la chamade à l'unisson, dans Dead hearts pour s'emballer dans un fracas invincible. Après, on enchaîne avec In the room where you sleep, plus enjoué, enivré pour arriver sur Buried Water tout à fait planant, vespéral, le ch?ur qui s'enhardit et nous touche l'âme. Avec Pa pa power on revient vers les années 8à, avec un petit air rétro mais qui ne dure pas tant que ça. Young and tragic annonce la fragilité de l'existence, de notre condition. Paper ships passe par les années 60 pour notre bon souvenir quand Lose your soul nous emmènes vers des lieux où déferlent un vent étrange, gris métallique, presque transparent si l'on peut dire pour enfin se révéler à nous et s'épanouir, vous allez aimer, c'est évident.Werewolf heart annonce une certaine quiétude, vitalité posée qui va s'enhardir et se libérer progressivement des contraintes qui l'enferme pour se laisser aller avec cette voix presque d'outre-tombe et en passant parDean man's bones on arrive à la très belle Flowers grow out of my grave, un moment de poésie pur, inatteignable