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Le Bar floréal à la Maison Européenne de la Photographie

Dans cette mini expo, j’ai particulièrement appréciés les œuvres de
Bernard Baudin avec "Cuba" nous emmènes sur des rivages d’une beauté lucide et plein de pureté et de réalisme social, confrontation de plusieurs mondes, de plusieurs peuples imbriqués dans la même histoire quis e construit au jour le jour.
et Nicolas Quinette avec "Bénarès, ville de la mort" qui lance une regard étonnant sur une réalité rarement montré ; la mort, avec ces flous et ces mouvements et cette lumière qui rejaillit, dans ces tirages en noir et blanc uniquement, on a un sentiment de vitesse mais également de vécu avec des images impresionnantes, de l’irréel au cœur du réel, de la nuit où de ce moment où tout basule, seulement quelques clichés mais une grande maîtrise des éléments
Big Bang
De Big bang, vous devez absolument passer et attendre, paisiblement dans la salle Où il ets quetsion de « réenchantement », expérience dans la nuit de beaubourg, recréée pour vous, vous vous enfoncez toujours un peu plus vers cette parcelle presque non humaine, qui est en suspens… et vous attendez, nonchalemment, que le sirgissement vous surprennent, il est là au aguet et vous tire de votre torpeur où vous étiez aux confins de l’enfer, ou dans els sombres puits des romans les plus frigorifiant qui soient, osez vous alissez surprendre et venir vers vous le smorts et les vivants renaître au gré d’une apaisante musique d’eau
Pour plus de renseignements sur réenchantement de Bill Vila, voyez ici
Réenchantement III : Five Angels for the Millennium, 2001, de Bill Viola
Le site de Bill Viola : www.billviola.com

Vous ne manquerez pas de visionnez le reste decette belle exposition si vous n’y êtes déjà allez…, j’aime toute particulièrement les grafftis de Brassai de 1935 à 1950 ; Superficie angolare bianca nø6, 1964 de Enrico Castellani qui vous semble irréelle et vous renvoie à un monde où le regard s’absente et se perd dans les méandres de la matière brute…et une vidéo enfin un reflet de miroit d’un chemin, itinérant, il renvoie ce qui n’est pas, une réalité telle que l’on veut vous la faire voir, telle qu’elle semble et qui bouge suivant l’angle de visé, toujours en déconnexion avec le réel, avec le cadre réel, le plan se resserre et le long du chemin, les changements se précise et j’ai oublié le nom de cet auteur….
Pour le reste, je suis certain que vous aurez quelques commentaires qui seront les bienvenus…
Ombres et Lumière Rêves dombres
Perdez vous avec vos enfants ou sans d’ailleurs dans l’univers magique des Ombres, de leur vie et leur mort, éphèmère, de leur vivacité et de leur énergie sans cesse renouvelée, qui vous fera retomber en enfance si vous vous laissez aller juste un peu dans ces contrées que vous n’avez pas pu oubliez de si tôt, allez jeter un œil, ne vous en faites pas les ombres ne mordent pas, on le saurait… vous serez étonnez par la caprure de votre ombre, si si, c’est du réel… les anamorphismes de la chaise, et les fournims qui rentrent dans le sucrier ou les oiseaux qui s’envolent, telle une nuée ardente… et puis vous pourrez jouer à la cuisine des ombres, qui n’en a jamais rêvé après avoir écouté quelques contes d’Ombres dont l’histoire superbe du cerisier, du vagabond et de l’ombre achetée..
Pour tout savoir sur ce monde de la nuit visible, regardez déjà ici
Mélancolie Génie et folie en Occident
Enfin, j’ai pu avoir le plaisir de voir cette très belle composition qui entraine à travers els siècles, les philosophes et l’art bien évidemment, aux détoures du mélacolique qui nous apparaît sous différents traits et à travers différentes postures avec des représentations qui au cours des siècles se cotoient pour rester dans le sublime.
Une petite anecdote, vous conviendrez tous qu’elle est de rigueur dans le contexte. Comme on le sait la posture la plus représentative du mélancolique est la position de la personne accoudée, un peu prostrée à l’instar des œuvres présentés successivement etd e par exemple cette célèbre reproduction de Albrecht Dürer intitulée : Melencolia I
Eh bien figurez vous que lorsque l’on monte à la salle supérieur, ce jour là, en haut des escaliers, en contrebas apparaît un homme qui s’assied, un promeneur comme tout un chacun que nus sommes et qui prend exactement cette posture, au milieu de l’exposition dans ce XXIème siècle ouvert et qui est le notre, sorte de continuité vivante issus de l’exposition, vous me direz rien d’exceptionnel, c’est vrai mais fallait-il encore être présent à ce moment et voir ce que nous avons paratgé avec quelques autres passants quelques peu hilares, sorte d’instant magique dans un lieu autrement magique et qui vaut pour la peine d’achter le hors-série que le magazine littéraire lui consacre car extrêmement bien documenté et permettant d’approfondir un sujet et une exposition trop riche pour n’être pas approfondie
Et pour suivre un peu plus l’exposition et ces différentes salles par période, je vous conseille tout simplement de lire et de regarder bien attentivement les commentaires et les oeuvres sur le site de la RMn consacré à cette exposition au Grand Palais qui brosse en 8 tableaux un bel ensemble de ce que vous n’allez pas manquer d’aller voir en vous dépêchant d’ailleurs car cela se termine bientôt….
Bernard Faucon
Toujours à la Galerie VU voici bernard Faucon mais là à vrai dire malgré quelques très belles photos aux couleurs et au rendu presque irréel, je n’ai pas spécialement bien compris ni apprécié le pourquoi du comment alors si vous avez des éclaircissements, ce sera avec grand plaisir



