street art

Levalet, un street artiste à l'honneur by herwannperrin

Levalet, un artiste de street art et plus en core est à l'honneur aujourd'hui.L'idée principale est de retrouver à Paris notamment les oeuvres de Levante dans la ville, aux détours d'un chemin, d'une rue; vous allez vous laisser surprendre, vous laissez subjuguez par les situations sur lesquelles vous allez indubitablement tomberLe travail à l'encre de chine et au papier kraft joue sur les contrastes, sur les mouvements, la vie et les situations incongrues qui se présentent. le travail en chambre est important voire essentiel, l'humour est là aussi qui vous surprend, vous interpelle devant ces situations presque palpables, réelles peu ou prouVous aurez envie que l'histoire continue, que le mouvement vous surprenne et vous essayerez ensuite de traquer ces figures presque humaines qui se baladent dans la ville"Les figures s'animent, se déplacent, interagissent entre elles et avec le passant. Tout repose en effet sur une pratique illusionniste: les êtres dessinées à l'échelle humaine suscitent un effet de miroir, une identification aux personnages et à la posture dans laquelle ils se trouvent. le choix du photoréalisme des dessins de Levante sais le spectateur, l'interpelle, l'arrête dans sa marche : pas de message direct, ni de sens caché à trouver. Tout l'enjeu du travail de cet artiste consiste avant tout à provoquer chez le spectateur un questionnement sur le fait d'entrer en action, sur les impulsions qui nous peuvent et surtout sur l''sauce dans lequel nous évoluons sans jamais l'interroger vraiment". Levalet, Scènes de rue chez Opus Délits.Pour découvrir le travail de l'artiste en dehors de l'espace urbain, vous pouvez consulter :Son site/blog : https://www.levalet.xyzDes illusions comiques ou Scènes de rues 

Pasolini, si je reviens par Ernest Pignon Ernest à la Galerie Open Space by herwannperrin

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Pour ceux qui ne connaitrait pas Pasolini, ils 'agit notamment pas réalisateur italien mais pas que car il a également été écrivain, poète, journaliste et scénariste.Côté 7ème art, vous aurez au moins entendu parler de Médée (la magicienne...), Oedipe roi, les contes de Canterbury, les Milles et une nuits et sûrement le plus connu Salo ou les 120 journées de Sodomes... à ne pas laisser voir par tous...Pasolini a été assassiné la nuit du 1er au 2 novembre 1975, sur la plage d'Ostie, près de Rome. Les circonstances et raisons de la mort de Pasolini restent encore assez floues.C'est le retour de Pasolini qu'Ernest Pignon Ernest a mis en scène en peignant et prenant en photographie son oeuvre dans différents endroits chers à ce grand artiste.On pourra également voire et lire les écrits d'Ernest Pignon Ernest chez Actes Sud avec Dan sua lumière déchirante de la mer, Pasolini assassiné.La relation entre Pasolini et ernest Pignon ernest date des années 80 : " Pasolini était écartelé entre le désir intense de voir se transformer les rapports entre les gens et la lucidité aiguë avec laquelle il percevait les menaces que ces bouleversements allaient engendrer. Parce qu’il était le chantre du corps, de la liberté, du sexe, peut-être a-t-il été le premier à pressentir le détournement qui était en train de s’opérer, la société de consommation s’emparant de ces aspirations physiques et spirituelles pour les mettre au service de la marchandise. En dépit d’une hostilité quasi générale, il a prophétiquement dénoncé les risques de nivellement, de destruction des valeurs qu’implique l’hégémonie culturelle d’une société sans autres critères que ceux de la réussite matérielle. En même temps qu’il combattait l’acculturation, la déshumanisation programmée par cette société libérale qu’il apparentait à une nouvelle barbarie, il affirmait la monstruosité d’un communisme incapable de considérer la personne humaine comme sacrée. Marxiste, sa quête d’absolu et de fraternité était en fait assez proche du christianisme des origines, voire de celui que François d’Assise avait voulu régénérer.Au fond, il y avait mille raisons pour que je tente de me saisir de cette figure : son oeuvre de poète, de cinéaste, de faiseur d’images ; le caractère de son engagement ; le corps nu, cet élément de vocabulaire que nous avons en commun ; le choix des peintres qui l’ont inspiré (Masaccio, Mantegna, Piero della Francesca, Duccio, Bacon, Caravane, Giotto, dont il incarne lui-même le disciple dans son Décaméron) ; sa façon singulière de parler d’aujourd’hui en s’appuyant sur les grands mythes qui ont formé notre conscience (Médée, OEdipe, Jésus), en interrogeant la Grèce, l’Afrique, les deux rives de la Méditerranée ; également, la charge charnelle qu’il a donnée à cette intuition qui veut que les hommes et les mythes communiquent.”Ernest Pignon-Ernest La galerie Open Space ré-ouvre le 5 janvier 2016, ne manquez pas le détour jusqu'au 23 janvier 2016. Ils 'agit d'un bel hommage.Galerie Open space116 boulevard Richard Lenoir - 75011 Paris

Le festival de street art de Montreuil by herwannperrin

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C'était ce we, les 26 et 27 septembre, c'est fini, eh oui mais cela continue aussi.
Alors si vous n'avez pas pu, su ou eu le courage d'y aller de par ces journées qui ont été bien suivies et bien vous pouvez encore en profiter et suivre la carte des manifestations qui ont pu avoir lieu pour aller découvrir ou redécouvrir les œuvres créées et terminées de grands noms du street art
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Rendez-vous donc aux côtés de ces fresques a même la ville pour compléter une vision urbaine et artistique qui ma foi à quelques pépites
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Rendez-vous dans la ville aux côtés, entre autres de Mesnager, Popof, Nemo, Mosko & associés, Invader, Espion, et plein d'autres artistes à découvrir
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Doel, ville abandonnée ou presque by herwannperrin

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imageUne atmosphère étrange plane sur Doel, petite ville au nord d'Anvers en Belgique.En effet, cette ville est un de ses lieux abandonné, en déshérence car la majorité des habitants en sont partis et que seuls quelques résistants font encore face à l'expansion semble t-il inéluctable du port même si cet état de fait perdure depuis maintenant près de 20 ans.En soutien, la ville a été investie par le street art et les maisons laissés à l'abandon trône encore vaillante et désolées avec leurs façades murées remplies de graffitis.On peut lire et voir quelques autres grafs dur ce site[tps_footer][/tps_footer] : "Le village de DoelLe village flamand de Doel (prononcez 'Doul') comptait près de 1500 habitants au début des années 60. Les premiers ont commencés à déserter le village dès les années 1970 suite à la construction de la centrale nucléaire toute proche.Mais c'est surtout le projet d'extension du port d'Anvers sur son territoire qui scella l'avenir de Doel et engendra, dès les années 2000, l'exode des habitants. Aujourd'hui, il n'abrite plus qu'une petite trentaine d'habitants, ça a commencé par les commercants puis les habitants ont suivis au fil du temps."imageUn mélange de genre de graffitis qui donne à y passer un agréable moment arpentant ces ruelles désertés croisant de ci de là quelques étrangers en quête de graffitis ou même des personnes de passage s'interrogeant sur le pourquoi du comment. Certes, il n'est pas commun de se promener dans une ville fantôme, de se plonger dans ,es arrières cours éventrées par la végétation, les intérieurs des maisons encore debout avec quelques fauteuils, quelques arrières salles défoncées mais encore debout, des trophées qui tiennent miraculeusement dans un monde plein de silence, de bris de verre et d'humiditéimageEssayez de faire un tour dans cet endroit surprenant pour prendre le pouls d'une ville démunie qui survie de part la ténacité de quelques personnes, difficulté de vivre à sa juste note dans un tel environnementimageimageimage

Passage photo, deuxième édition et vernipassage à la clé by herwannperrin

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885964_10152957741914389_7223079493711266726_oEh bien figurez-vous que le collectif de Passage photo s'est agrandi cette année et compte maintenant une douzaine de photographes toujours aussi sympathiques.Si vous avez manqué la première édition, rendez-vous sur l'évènement de l'année dernière et pour la petite histoire, le concept est ma foi assez simple. Vous mettez ensemble quelques personnalités d'univers différents avec des styles photographiques bien à eux avec pour dénominateur commun d'aimer la vie et de vouloir promouvoir la création artistique et la photographie de rue. Vous mixez bien le tout et vous avez passage photoPassage photo qui expose sur les grilles de quartier de Vitry sur seine de belles photographies de ces artistes. des photographies que vous aurez la chance, le bonheur, l'immense joie de découvrir au cour du vernissage organisé pour ce bel évènementPour les aspects pratiques :

  • Le Quand : c'est le Dimanche 31 mai à 15h
  • Le Où : A La Librairie Le Tome 47, 47 Avenue Guy Moquet 94400 Vitry sur Seine qui vous permettra d'ailleurs de feuilleter entre autres, revues d'arts, bande dessinée, comics et autres amusements
  • Le Concept : déambulation urbaine, promenade artistique accompagnée des photographes pour visualisation et commentaire des photographies exposées
  • Le Départ : 15h30
  • Le Commencement de la soirée : vers 17h au tome 47 accompagné de quelques amuse-gueules...

Pour mieux connaître et/ou découvrir ce collectif, il s'agit de Michel Aguilera, Serge Bacheré, Emmanuelle Bensimhon, Vincent Bousserez, Sandie Carol Dougnac, Eric Chatron, Georges Grosz, Céline Huard, Mikaël Lafontan, Eric Laforgue, Alexandre Lardeur, Claire Petit.Pour vous donner un petit aperçu de ce qui vous attend rien de tel qu'un petit teaser si agréable, réalisé par l'ineffable Yohann Charrin, 300 personnes étaient présentes en 2014, quand sera t-il dimanche, à vous d'en décider...VERNIPASSAGE#2 LE 31 MAI, 15H À VITRY : SOYEZ PRESENTS from Yohann Charrin on Vimeo